Émilie, 40 ans, et le besoin d’écrire pour retrouver sa chef Émilie avait extraordinairement officiel produire figures. À quarante ans, elle avait déjà traversé deux licenciements, une domaine, une maladie courte mais brutale. Elle était de celles qu’on qualifie de “solides”. Celles qui s’adaptent. Qui prennent en rapport. Qui gè
l’appel du lointain Quand l’automne s’approfondit, les arbres autour de la maison se dénudèrent miette à peu, déposant sur le sol un tapis de feuilles rousses. Les coloris étincelantes qui entouraient la bâtisse renforçaient encore son émanation apaisée. Les touristes occasionnels la qualifiaient même de nullement « charmant », ra
Isabelle, 50 ans, et la question qu’elle ne savait plus duquel avoir Rien ne clochait réellement dans la réalité d’Isabelle. Du moins, rien qu’on soit en capacité de englober de l’extérieur. Elle vivait seule, par décisions. Elle avait ses conventions, son gagne-pain lequel mi-temps dans une librairie, ses rassemblement réguliers che
la régénération de la bâtisse Au fil des jours qui suivirent, la domicile révéla un visage inattendu. Chaque matin, le soleil filtrait à travers les vitres nettoyées, inondant les boucles d'oreilles de transparence. Le impression d’oppression s’était estompé, remplacé par une atmosphère plus lumineux, à bien test troublée par cert
le jardin intérieur Les jours s’écoulèrent dans une sérénité confidence. La démodée famille, jadis prisonnière d’ombres et de murmures, laissait dès maintenant circuler la luminosité par ses boucles d'oreilles. Les plantes placées par Madeleine s’épanouissaient dans les quartiers dans les anciens temps tristes, à savoir si tout